Infanterie contre Infanterie
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 les forces militaire

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Marquis claude villars
chef de bataillion des grenadier#chef de bataillion des grenadiers des regiments du roi
Marquis claude villars


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MessageSujet: les forces militaire    les forces militaire  Icon_minitimeJeu 25 Juil - 3:01

Infanterie
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Uniforme d'un légionnaire romain du Ier siècle
Tableau représentant l'infanterie prussienne en 1745

L'infanterie est l'ensemble des unités militaires devant combattre à pied, le soldat étant appelé fantassin. Le mot est emprunté de l'italien infanteria, dérivé de infante (enfant) qui prit au XIVe siècle le sens de « jeune soldat, fantassin ».

L'infanterie de marine désigne spécifiquement les troupes d'infanterie de la Marine de guerre, habituellement embarquées à bord des navires. En France, ces troupes font partie de l'armée de terre.

L'infanterie de l'armée de terre peut être acheminée par divers moyens sur le lieu des combats depuis XXe siècle :

* les troupes de l'infanterie motorisée se déplacent et combattent à pied et sont transportées par des véhicules à roues (blindés ou non) sur le lieu de la bataille. Ils ne disposent pas de véhicules de transport blindés pour assurer leur progression ;
* les troupes de l'infanterie mécanisée sont transportées par des véhicules de transport blindés chenillés et accompagnent la progression des blindés afin de réduire les nids de résistance qui entraveraient le passage des chars lourds ;
* les troupes aéroportées et les unités parachutistes, entraînées pour effectuer des missions spéciales en terrain ennemi, sont transportées par voie aérienne (avions ou hélicoptères de transport de troupes et planeurs).

Elle se différencie traditionnellement de la cavalerie, même s'il a existé des unités d'infanterie montée, troupes se déplaçant à cheval, mais combattant à pied.
L'infanterie de marine est constituée des troupes terrestres embarquées sur des vaisseaux militaires pour les défendre, libérant ainsi l'équipage du vaisseau des tâches de combat, ou pour les débarquer dans des opérations amphibies. Dans l'Antiquité gréco-latine et carthaginoise, l'infanterie de marine combattait sur le pont des galères, comme dans la marine à voile lors des abordages.

Au cours de l'Histoire, se sont constituées des unités militaires spécialisées dans les conquêtes coloniales, principalement faites par cette infanterie de marine, suivie d'autres troupes en renfort et en suivi. La spécificité de ces unités est donc de combattre sur terre à partir d'une base d'assaut maritime, navires ou barges de débarquement.

Dans la période contemporaine, compte tenu de l'évolution de la guerre navale, et de la projection accrue des forces conventionnelle dans les armées occidentales, la distinction d'emploi entre l'infanterie de marine et l'infanterie conventionnelle a eu tendance à s'estomper, mais la distinction a été conservée soit comme marque de la tradition du régiment, soit comme désignation de troupes d'élite.

Les Troupes de la Marine étaient aussi connu comme compagnies de la marine et coloniale[1]. Ils étaient sous l'autorité du ministre de la Marine française, qui était aussi responsable pour la marine française, le commerce outre-mer, et les colonies.

Pendant le XVIIe siècle, le Cardinal Richelieu ordonna la création des Troupes de la Marine pour servir sur les navires français d'outre-mer. C'est alors que quatre-vingt compagnies de cent hommes chaque furent formées[2]. Les Troupes de la Marine furent envoyées par Louis XIV en 1682[3] pour remplacer les troupes régulière en Nouvelle-France, et furent utilisées pour mettre en garnison dans les colonies françaises. Elles étaient les seules troupes régulières en Nouvelle-France de 1682 à 1755, alors que plusieurs bataillons furent envoyés en Amérique du Nord. La majorité des officiers et soldats furent recrutés en France, bien que les officiers fussent de plus en plus canadiens. Le service dans les Troupes de la Marine était une importante source d'opportunité économique, et un prestige pour l'élite de la Nouvelle-France. Il y avait souvent une liste d'attente pour être nommé officier dans les compagnies de la Marine. Malgré le fait que la force des troupes variait de beaucoup d'une période à l'autre durant la guerre de Sept Ans, il y avait quarante compagnies dans la vallée du Saint-Laurent et aux Pays d'en Haut; vingt à Louisbourg[2], et plus en Louisiane et en Acadie. De grandes garnisons furent maintenues à Québec, Montréal, et La Nouvelle-Orléans, avec des plus petites forces pour garder les forts et les postes à travers le vaste territoire de l'Amérique du Nord durant le XVIIIe siècle.

Les compagnies étaient reconnues comme les troupes coloniales régulières, et ils étaient très bien entraînées dans l'art de la guerre conventionnelle et très adaptés dans la guerre amérindienne[2] (ce qu'on appelle aujourd'hui, guerre de guérilla). En concert avec la milice canadienne et ses alliés amérindiens, les Troupes de la Marine étaient essentiels à la défense de la Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe siècles. Avec l'arrivée d'importantes forces britanniques après 1755, la nature du conflit en Amérique changea vers des troupes irrégulières à des troupes conventionnelles, avec une importance particulière aux sièges et aux fortifications. Des bataillons furent envoyés pour protéger la Nouvelle-France après 1755.

Pendant la guerre de Sept Ans, la garnison à Louisbourg fut faite prisonnière avec la chute de la forteresse[2]. Après la conquête de 1763, beaucoup d’anciens soldats s'établirent définitivement dans le nouveau territoire[2], alors que d'autres furent rapatriés avec réticence en France[2].
La marine de guerre, les forces navales, la marine nationale, la marine militaire ou l’armée de mer, est une des composantes de l’armée de certains États.

Elle permet d’exercer une action militaire en mer ou depuis la mer ; elle peut aussi être chargée en temps de paix d’effectuer des actions civiles en mer comme des missions de police et de surveillance, de secours et d’assistance, de lutte contre les trafics, de prévention et de traitement des pollutions, missions hydrographiques, etc.

Une grande marine moderne évolue dans quatre dimensions : sous la mer, à la surface de la mer, dans l’air et dans l’espace (par le biais de missiles balistiques et de satellites).

Elle est composée de navires de guerre, d’aéronefs et d’installations à terre (de commandement, de soutien et de transmission), ainsi que d’un personnel civil et militaire d’une très grande variété de métiers et de spécialités.

Plusieurs États disposent de garde-côtes qui ont le rôle d'une marine militaire.
La cavalerie est l'arme des soldats ou des guerriers qui combattent à cheval. Historiquement, elle est la troisième plus ancienne des armes de combat (après l'infanterie et les chariots de guerre) et la plus mobile.

L'appellation de cavalerie n'est généralement pas utilisée pour les forces militaires qui utilisent d'autres montures (chameaux ou mules par exemple). Quant au concept d'infanterie montée (qui se déplace à cheval mais combat à pied), il apparaît au XVIIe siècle avec les dragons, une arme initialement à part mais qui s'intégrera par la suite dans la cavalerie dit "de ligne".

Dès les premiers temps de son utilisation, la cavalerie offre l'avantage de la mobilité, qui en fait un instrument de guerre redoutable car elle permet de déborder et d'éviter l'adversaire, de surprendre et de vaincre, de battre en retraite et d'échapper à l'ennemi en fonction des besoins du moment. C'est aussi l'arme de la reconnaissance et des raids dans la profondeur.

Sa monture confère au cavalier plusieurs avantages sur son adversaire à pied : vitesse, hauteur, masse et inertie lors du choc. Un autre facteur de supériorité résulte de l'impact psychologique de l'apparition du soldat à cheval sur le fantassin.

La mobilité et la capacité de choc de la cavalerie sont grandement appréciées et exploitées dans les différentes forces armées sous l'Antiquité et au Moyen Âge ; certaines forces étant principalement composées de cavalerie, en particulier dans les tribus nomades de l'Asie, comme les Mongols. Chez ces peuples de cavaliers se développe le concept de la cavalerie légère qui prône la vitesse et la surprise, avec des combattants montés, équipés et armés légèrement . En Europe, la cavalerie se dote au contraire d'armures lourdes et pesantes et les chevaliers agissent comme une cavalerie lourde, en privilégiant la recherche d'une action décisive au moyen d'un choc frontal. Au cours du XVIIe siècle, la cavalerie européenne abandonne l'armure, inefficace contre les fusils et les canons qui font leur apparition. Néanmoins, certains corps de cavalerie tels que les cuirassiers conservent une cuirasse petite et épaisse qui bénéficie d'une protection contre les lances et les sabres et une certaine protection contre les projectiles tirés à longue distance.

Durant la période entre les deux guerres mondiales, de nombreuses unités de cavalerie sont converties en infanterie motorisée ou en unités mécanisées et blindées. Cependant, la cavalerie sert encore pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment dans les armées allemande, italienne, polonaise et soviétique, généralement sur les arrières du front.

De nos jours, la plupart des unités de cavalerie montées servent dans des rôles de prestige, ou - beaucoup plus rarement - comme infanterie montée sur des terrains difficiles comme les montagnes ou les zones densément boisées. L'utilisation moderne du terme se réfère à des unités spécialisées dotées de chars (« cavalerie blindée ») ou d'aéronefs (« cavalerie de l'air »).
Sommaire
[masquer]

* 1 Histoire de la cavalerie en Europe
* 2 Bibliographie (France)
* 3 Voir aussi
* 4 Liens externes

Histoire de la cavalerie en Europe[modifier]
Cavalerie prussienne au début du XIXe siècle.
Richard Caton Woodville, Poniatowski's Last Charge at Leipzig (1912).
Chevau-légers australiens faisant partie du corps expéditionnaire aux Dardanelles (photographie de 1914).

La cavalerie a longtemps été un moyen de reconnaissance ou de communication entre les différents corps d'armée plutôt qu'une réelle force de combat. Le coût de l'entretien d'un cheval était tel que bien peu de personnes étaient capables de l'assumer. La cavalerie pose aussi d'importants problèmes logistiques. La présence des animaux implique la construction d'enclos, le transport de fourrage, l'emploi de palefreniers... Mais la force d'un corps de cavalerie face à des fantassins est telle que très rapidement les armées s’organisent pour avoir un certain nombre de ces soldats en soutien des troupes plus classiques.

Avec l'apparition progressive des rênes, du mors et surtout des étriers (qui permettent de se dresser sur les jambes et donc d'avoir plus de force lors de l'impact d'une charge - mais voir toutefois la Grande controverse de l'étrier) la cavalerie devient un enjeu stratégique pour les armées. La cavalerie lourde sera considérée pendant tout le moyen âge comme une arme décisive et les batailles tournaient souvent à l'avantage du camp qui en possédait le plus grand nombre. C'était particulièrement vrai pour les batailles en plaine.

Dans les armées féodales, la cavalerie était le plus souvent composées de nobles, seuls capable d'acheter et de financer l'entretien de leurs chevaux. Cette tradition perdura assez longtemps mais finira par se restreindre au corps des officiers (toujours obligés de financer leur équipement, à l'instar de la troupe). La cavalerie avait donc acquis un statut de prestige.

Pour contrer la cavalerie, l’arc peut être une arme redoutable. À la bataille d'Azincourt en 1415 la cavalerie française, largement supérieure en force et en nombre se fait décimer par les archers anglais équipés de leur arc long (long bow) en bois d'if. La cavalerie va alors évoluer pour privilégier la vitesse, seul moyen de contrer efficacement les armes de jet.

Avec la Renaissance apparaissent des armes à feu qui, à long terme, feront disparaître la cavalerie à cheval : le pistolet, l'arquebuse et le canon.

La cavalerie doit évoluer : les chevaux lourds sont écartés au profit de chevaux puissants et légers, les armures sont abandonnées au profit de côtes légères et de minces cuirasses...

Parallèlement à l'évolution des armes, on assiste à celle des tactiques et des formations.

En effet, à l’époque de la chevalerie, aucun chevalier n’aurait consenti à servir ailleurs qu’au premier rang, et seuls les sergents, archers, servants et autres coutiliers étaient placées derrière ceux-ci, prêts à achever ou – plus fréquemment sans doute – capturer pour rançon tout chevalier qui aurait été désarçonné. La formation de combat « en haie » était donc privilégiée. Les armes principales étaient la lance, l’épée et le bouclier pour le chevalier, l’arc ou l’arbalète pour les archers. Au XVIIe siècle, avec la survenue des armes à feu, apparaît l'escadron, qui se forme en profondeur (avec des tactiques comme la Caracole, chaque rang se servant successivement de ses pistolets avant d'aller se reformer à l'arrière de la formation). Les évolutions se font alors surtout au pas ou au trot[réf. souhaitée].

Mais si l’apparition de l’arme à feu a semblé mettre un terme à la prééminence du choc (c'est-à-dire de la charge), à partir du XVIIe siècle, l’arme blanche redevient progressivement l’arme de choix. et le format des escadrons évolue en conséquence. Ainsi, aux lourds escadrons "carrés" de plusieurs centaines d’hommes sur une dizaine de rangs et plus de l’époque des reîtres et de la Caracole vont succéder des escadrons sur quatre, puis trois, puis à partir de la guerre de Sept Ans, sur deux rangs.

Par la suite, le sabre remplace l’épée et devient l’arme principale pour la charge qui, au XVIIIe siècle, est conduite – ou achevée - au galop.

À cette époque la lance ne joue plus depuis longtemps qu’un rôle marginal (même si Napoléon, impressionné par les lanciers polonais, intégra un de leur régiment à la Garde impériale et recréa des unités de lanciers). Enfin, tous les cavaliers sont équipés d’un ou deux pistolets et d’une carabine ou d’un mousqueton (ou d’un fusil – plus long et plus lourd - dans le cas des dragons qui étaient censés combattre aussi bien à pied qu’à cheval).

Au fil de l'histoire, différentes composantes de cavalerie sont apparues :

* Cavalerie légère : (appelée également « les yeux et les oreilles de l'armée »)
o chasseurs à cheval spécialisés dans la reconnaissance
o hussards, unités d'attaque et de harcèlement
On appelle artillerie l'ensemble des armes collectives ou lourdes servant à envoyer, à grande distance, sur l'ennemi ou sur ses positions et ses équipements, divers projectiles de gros calibre : obus, boulet, roquette, missile, pour appuyer ses propres troupes engagées dans une bataille ou un siège. Le terme serait apparu environ au XIIIe siècle, dérivant du vieux français artillier qui désignait les artisans, fabricants d'armes et équipements de guerre. Ces artisans ont été pendant longtemps les seuls spécialistes dans le service de ces armes puisqu'ils les fabriquaient et les essayaient avant livraison. C'est pourquoi, jusqu'au XVIIIe siècle, ils étaient commissionnés par les souverains pour les servir à la guerre.

Ainsi et par extension, le nom d'artillerie qui désignait l'ensemble des produits fabriqués par les artilleurs a fini par désigner aussi l'ensemble des troupes au sol chargées de mettre en œuvre ces armes, dès lors que des formations militaires spécialisées ont été créées. L'emploi de l'artillerie nécessite le renseignement, la surveillance, l'acquisition d'objectif, le réglage du tir, la transmission des informations, un approvisionnement en munitions et l'entretien des armes. De ce fait, tout au long de l'histoire militaire, elle donne naissance aux armes du génie, des transmissions, de l'aviation légère des armées de terre, du train des équipages (d'artillerie), du matériel (Parc d'artillerie) et, par transfert, aux chars de combats regroupés à l'origine sous le terme d'artillerie d'assaut. En raison sa complexité, elle reste longtemps l'arme scientifique par excellence, attirant nombre de savants. A partir de I794, en France, l'Ecole polytechnique lui fournit de manière privilégiée ses cadres jusqu'à la deuxième Guerre mondiale. De plus, elle est le symbole de la puissance car elle nécessite des investissements importants. Sous Louis XIV, elle reçoit la devise d'"Ultima Ratio Regum", le dernier argument des rois. Elle est l'arme déterminante pour beaucoup de grands chefs militaires comme Napoléon Ier (qui était artilleur de métier). Ses évolutions conditionnent fortement la manière de faire la guerre.
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